Le 11 décembre 2007, je comparaissais devant la 17ème chambre du tribunal de grande instance de Paris pour diffamation publique envers la personne de Michaël BOUKOBZA.
Celui-ci, Directeur Général de Free au moment des faits, me reprochait d'avoir utilisé une caricature de lui comme avatar et de m'être inscrit sur le forum de l'ADUF en utilisant le pseudonyme "Michel BOKOUDSOUS" ( ici ). La partie civile requiert une peine exemplaire. J'ai été relaxé et ai obtenu 3000 Euros de dommages et intérêts.
Dans la même affaire, un certain "Guitare" comparaissait pour avoir diffusé sur le site de l'ADUF le message suivant ( ici ). La partie civile requiert une peine exemplaire. Guitare a été relaxé.
Toujours dans cette même affaire un responsable de l'ADUF comparaissait pour avoir permis la diffusion sur le site de l'association des messages incriminés. Le responsable de l'ADUF a été relaxé.
Nonal n'avait pu obtenir le rétablissement de sa connexion internet qu'à la suite de longues péripéties et d'une ordonnance d'injonction de faire rendue le 7 juin 2005 par un juge. Free avait entamé une procédure judiciaire pour diffamation à son encontre pour avoir posté sur le forum de l'association Freeks un message comportant le terme "arnaque" Nonal a été relaxé.
Après avoir poursuivi Free pour "défaut de connexion" et obtenu 1000 Euros de dommages et intérêts, un freenaute ouvre un site personnel pour y raconter sa mésaventure avec l’opérateur et son dénouement. Ses propos débordent un peu en utilisant des phrases comme “Free cassée aux pigeons sauce escroc”. Free l'attaque en diffamation et réclame 15 000 euros de dommages et intérêts. L'affaire a été classée sans suite par la partie adverse
Le président de l'association de consommateurs et le rédacteur en chef de la revue « Que Choisir » ont été poursuivis par Free pour diffamation. En cause, un communiqué dans lequel il qualifiaient le fournisseur d''accés d'incroyablement autiste". Les deux responsables de l'UFC Que Choisir ont été relaxés
Dans un post datant de février 2006 et signé Petit poucet, sous l’actualité de 01Net, le FAI était qualifié de « premier pirate de France ». Free attaque l'internaute en diffamation. Petit Poucet a été relaxé